Annexes

Luc Messier Luc Messier

LA LIBERTÉ D'EXPRESSION

Déclaration universelle des droits de l'homme (art. 18 et 19)

« Article 18 - Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites. »

« Article 19 - Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. »

Nous avons la liberté de religion et nous avons la liberté de conscience. La liberté de religion et la liberté de conscience sont aussi la liberté d’errer dans de graves dénis de réalité. Les magistrats et les dirigeants ont aussi cette liberté d’errer dans de graves dénis de réalité, et ce, même sous la grave menace des arsenaux nucléaires.

Nous avons aussi la liberté d’expression. Nous pouvons donc réclamer un minimum tacite de rigueur à la conscience de l’humanité pour mettre fin aux bêtises et aux souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

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Luc Messier Luc Messier

LA GRANDE MAJORITÉ DES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX S’IDENTIFIE À UNE RELIGION

Voici quelques-uns des dirigeants de 21 pays occidentaux des 50 dernières années que l’on retrouve dans Wikipédia (parfois Wikipédia en langue espagnole). On peut facilement penser que parmi leur entourage, y compris chez leurs opposants politiques, plusieurs ont des affiliations et des croyances religieuses semblables.

Remarquez le caractère culturel de l’appartenance de ces chefs d’État.

Extraordinaire déni de réalité!

En pleine face de tout le monde.

Plafonnés aux croyances religieuses, des concepts de la Préhistoire pour expliquer le comment et le pourquoi des choses.

On peut voir dans Wikipédia que sur 191 dirigeants de 21 pays occidentaux des 50 dernières années, 11 s’affichent comme étant athées (être athée ne signifie pas que l’on n’a pas de croyances religieuses), 11 s’affichent comme étant agnostiques, 1 s’affiche comme étant non-croyant, 1 s’affiche comme étant sans religion et 45 n’affichent rien (ce n’est pas parce que rien n’est affiché que ces personnes n’ont pas de croyances religieuses). Même s’ils sont athées, ou agnostiques, ou non identifiés à une religion, ils ne dénoncent pas cette conscience utopique. Ils laissent les choses aller. Ils laissent la liberté d’errer dans de graves dénis de réalité malgré les bêtises et les souffrances inutiles et endémiques de l’humanité. La dérive gravement insensée.

Les yeux des humains du monde entier regardent les dirigeants. Les enfants apprennent d’eux. Aucune de ces personnes n’a protesté contre la conscience de l’humanité coincée dans des concepts de la Préhistoire pour expliquer le comment et le pourquoi des choses. Elles envoient au monde entier le message que les croyances religieuses sont crédibles, fiables.

121 dirigeants s’identifient à une religion occidentale. 1 dirigeant s’identifie à une religion orientale. Question de culture. Question d’acuité de la conscience de l’humanité. Il y a environ 194 pays dans le monde, et encore plus de communautés culturelles. Une grande variété de perceptions colorées pour expliquer le comment et le pourquoi des choses. Cultures pittoresques. Encore une fois, s’il n’y avait pas de bêtises et de souffrances inutiles et endémiques dans le monde, pourquoi se soucierait-on de l’acuité de la conscience de l’humanité?

Nous avons la liberté de religion et nous avons la liberté de conscience. La liberté de religion et la liberté de conscience sont aussi la liberté d’errer dans de graves dénis de réalité. Les magistrats et les dirigeants ont aussi cette liberté d’errer dans de graves dénis de réalité, et ce, même sous la grave menace des arsenaux nucléaires. « La vie est belle ! »

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Luc Messier Luc Messier

LE CIRQUE INFERNAL

La nourriture, ça ne tombe pas du ciel. Dans le monde animal, depuis de centaines de millions d’années, les carnivores, pour se nourrir, doivent aller se battre pour tuer et ainsi, s’exposer à se faire tuer par d’autres prédateurs ou se faire blesser par leurs proies. Sans avoir demandé à venir au monde, on ne peut pas choisir d’être paisible. Un rôle nous est attribué : tantôt prédateur, tantôt proie. La conservation de la nourriture est relativement brève. La nourriture s’infecte rapidement. Donc, pour nos ancêtres, il fallait aller s’exposer à ce cirque de gladiateurs presque quotidiennement. Tous les animaux sont vulnérables à des moments de leur vie (jeunes, vieux, malades ou blessés). Tous sont bien déterminés à continuer à vivre. Impossible de s’isoler sur une île déserte pour avoir la paix. C’est ainsi depuis des centaines de millions d’années. Nous, les humains, sommes issus de ce cirque infernal. C’est une facette importante de la vie, négligée par tous les humains. Les animaux herbivores, eux, se nourrissent de végétaux, c’est moins dangereux, mais ils sont exposés aux carnivores et autres dangers. Chacun à ses moyens de défense. D’autres encore sont nécrophages. Les végétaux se nourrissent de la terre et des rayons du soleil et ne démontrent qu’une conscience infinitésimale. Plusieurs humains ont imaginé le paradis, le repos et la paix éternels après la mort pour donner de l’espoir et une raison de lutter, mais aussi pour donner un sens à la vie. Les humains ont été capables de relativement se retirer de ce cirque infernal grâce à la concertation, l’élevage, l’agriculture, de meilleurs moyens de conservation, la capitalisation, le travail, parfois dans un bureau, etc. L’esclavage y est passé aussi et l’on en retrouve encore aujourd’hui. Depuis un certain temps, la pêche et la chasse pour le compte d’un individu, d’une famille ou d’une tribu ont été remplacées par le prolétariat. Plus de 99 % des humains sont dans le prolétariat. Celui-ci est une autre façon de s’organiser, mais les gens doivent répondre à d’autres règles et à certains enjeux. C’est une autre lutte, plus civilisée, mais qui a aussi ses difficultés et lacunes importantes. La civilisation n’est pas une chose accomplie. Non, non, non. Les besoins de se nourrir, de se loger, de sécurité, sociaux, d’estime de soi, d’accomplissement, etc., sont toujours là pour 8 milliards de personnes, sous la menace des arsenaux nucléaires. Cette menace est là. Personne n’a besoin de cette stupidité ! La conscience générale des humains qui erre dans le déni de réalité est gravement insensée. La vie, phénomène très mystérieux, est poussée par une force et avance dans l’espace et dans le temps selon l’offre et la demande. Elle a ses exigences. Elle est sauvage et sans merci. Nous en sommes. Nous sommes un produit de la vie.

 

 

Étrangement, les magistrats, les dirigeants et autres humains n’accepteraient pas d’être pointés d’une arme à feu, qu’elle soit chargée ou pas. La personne qui pointerait une arme devant un magistrat ou un dirigeant serait très sévèrement punie, sinon tuée sur le champ par un policier. Mais d’être menacé depuis 75 ans par des arsenaux nucléaires, les magistrats, les dirigeants et autres adultes n’en dit rien. C’est accepté socialement. C’est une normalité, un standard. N’est-ce pas étrange ! Huit milliards de personnes sous la menace des arsenaux nucléaires et personne ne dit rien. C’est le monde dans lequel nous vivons.

Bien oui, quelques personnes parlent de la menace des arsenaux nucléaires. Mais en mathématique, on arrondit les décimales à l’unité la plus proche. Et comme les humains qui parlent de cette menace représentent moins d’un demi de 1 %, on arrondit à zéro. Une fraction de 1 % peut être très petite.

Ces adultes en qui nous avions confiance alors que nous étions de jeunes enfants forment cette conscience de l’humanité.

Les jeunes enfants, eux qui n’ont pas demandé à venir au monde et qui ont un puissant instinct de survie ne sont pas conscients de ces facettes de la vie. Par instinct, ils apprendront ce que les gens autour d’eux leur apprendront. C’est une question de survie. Avez-vous déjà été un jeune enfant ?

Êtes-vous maintenant un adulte ?

Avez-vous déjà remarqué que ce que vous mangez depuis votre naissance provient exclusivement de la vie à l’exception du sel et de quelques produits chimiques qui n’ont rien de nourrissant ?

Avez-vous déjà eu des pulsions sexuelles ? Y a-t-il longtemps de cela ?

Êtes-vous seul sur Terre ainsi ?

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Marc Carvalho Marc Carvalho

LA PROMISCUITÉ

Selon Le Robert :

Situation qui oblige des personnes à vivre côte à côte et à se mêler malgré elles ; voisinage choquant ou désagréable.

Selon Larousse :

Situation dans laquelle quelqu’un se trouve soumis à un voisinage désagréable. 

Selon Wikipédia, promiscuité :

La notion de promiscuité désigne aujourd’hui la grande proximité physique entre différents individus d’une même population ou de populations différentes, animales (dans un élevage par exemple) ou humaines. Les espèces dites grégaires la tolèrent mieux que les animaux qui ont un comportement solitaire durant tout ou partie de leur cycle de vie, mais uniquement jusqu’à un certain seuil ; des rats (espèce grégaire et sociable) placés en situation de promiscuité — au-delà d’un certain seuil — s’entretuent, même s’ils disposent d’eau, d’air et de nourriture en suffisance.

Lorsqu’elle est contrainte et durable (en prison, ou dans un bidonville ou dans un appartement surpeuplé par exemple), la promiscuité est un puissant facteur de stress et souvent d’agressivité. L’individu contraint par la présence de sa famille, de ses collègues et/ou voisins… est encore moins libre de ses mouvements, de sa sexualité et de ses dires, il est souvent également soumis à l’impossibilité de s’isoler.

 

Les humains sont comme les rats, des animaux grégaires et sociables.

Quelques exemples de promiscuité :

Être debout à l’heure de pointe dans un transport en commun et sentir dans notre cou le souffle de celui qui se tient debout derrière soi est une promiscuité légère. Le bail qui lie un locataire et un propriétaire qui ne s’entendent pas est une promiscuité plus sévère. La jeune enfant qui vit avec ses parents et qui se fait abuser sexuellement par son père pendant des années est de la promiscuité extrêmement sévère. Cette jeune fille ne peut s’enfuir. Elle a besoin de nourriture, d’un toit, etc. Elle est très vulnérable.

Prisonnier en prison, soldat dans l’armée, employé dans une usine, élève à l’école, la vie dans des bidonvilles ou sous les viaducs, une femme dépendante de son marie, des enfants dans une famille où il y a une mauvaise hygiène mentale, etc., sont des endroits ou situations où l’on retrouve de la très grave promiscuité.

Une personne qui se suicide vit un des moments les plus tragiques de sa vie. Il est dans une situation de promiscuité insoutenable.

La promiscuité est une situation inconfortable dans laquelle une ou des personnes sont coincées pour une durée de temps… une minute, une journée, une année, une vie…

La promiscuité, c’est aussi une situation où nous sommes vulnérables à avoir des pressions d’un (une) manipulateur, (manipulatrice) par exemple. Ne pas être relativement indépendant financièrement est une situation où nous sommes susceptibles à avoir des pressions d’un (une) manipulateur (manipulatrice).

Une minorité d’humains savent ce qu’est la promiscuité. Sans être capables d’en parler, comment pouvons-nous lutter contre la promiscuité ? Une civilisation cohérente et concertée peut lutter contre la promiscuité. Tous les humains fort consciemment et relativement indépendants du prolétariat sont une façon de lutter efficacement contre la promiscuité.

La pauvreté est propice à créer de la promiscuité. La pauvreté et la promiscuité sont propices à créer de la criminalité. Un viol est un moment d’une grave promiscuité. La guerre est un sommet de la promiscuité. La menace des arsenaux nucléaires est l’apothéose de la promiscuité. Une humanité incohérente qui ne se concerte pas crée de la promiscuité. La promiscuité est une réalité de la vie. Les croyances religieuses n’ont rien à voir avec la promiscuité. Nous devons garder la promiscuité loin de nous et ce n’est pas en priant de quelconques divinités que l’on y parviendra.

Personne ne parle de la promiscuité.

Voici la prière récitée tous les jours à la Chambre des communes :

Dieu tout‑puissant, nous te remercions des nombreuses grâces que tu as accordées au Canada et à ses citoyens, dont la liberté, les possibilités d’épanouissement et la paix. Nous te prions pour notre Souveraine, la Reine Elizabeth, et le (la) Gouverneur(e) général(e). Guide‑nous dans nos délibérations à titre de députés et aide‑nous à bien prendre conscience de nos devoirs et responsabilités. Accorde‑nous la sagesse, les connaissances et la compréhension qui nous permettront de préserver les faveurs dont jouit notre pays afin que tous puissent en profiter, ainsi que de faire de bonnes lois et prendre de sages décisions. Amen.

Voici la performance intellectuelle des dirigeants du Canada. Les magistrats eux, acquiescent.

 

Les dirigeants nous préviennent, par exemple, lors d’épisodes de canicules pour que nous nous protégions. De la promiscuité, ils n’en parlent jamais.

Encourager les gens à devenir relativement indépendants du prolétariat ne fait pas partie de leurs conseils. Faire de l’humanité une civilisation cohérente n’est pas dans leur vision des choses.

On ne prend pas les mêmes décisions lorsqu’on est soumis à de la promiscuité. On ne fait pas les meilleurs choix lorsque nous sommes soumis à la promiscuité.

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Marc Carvalho Marc Carvalho

L’ANTHROPOCENTRISME

Que vaut l’opinion philosophique de personnes inconscientes de l’anthropocentrisme ? Dieu, les prières et les âmes éternelles sont des concepts des plus hautes sphères de l’anthropocentrisme.

La perception de la Terre comme étant plate, au centre de l’univers avec le Soleil qui tourne autour sont comme Dieu, les prières et les âmes éternelles, des concepts anthropocentriques de la préhistoire.

On ne peut plus passer à côté de la vie. On ne peut plus l’ignorer et n’en faire qu’à notre tête, avec cette conscience anthropocentrique de la Préhistoire.

Le temps est une dimension très abstraite et bien peu connue des humains. Omniprésent, il est inaccessible à l’esprit humain. Qu’est-ce que le temps ?

On ne peut imaginer qu’il finisse un jour. Et l’infini est inaccessible à l’esprit humain. Le temps a ce quelque chose d’absolu.

La vie ne peut exister sans le temps.

Tout ce que les humains ont pu faire avec cette dimension, c’est de se donner des repères pour compter son écoulement. Ces repères sont typiquement anthropocentriques, c’est-à-dire qu’ils ont été établis selon la perception des humains sur leur environnement.

On compte le temps selon des références comme la durée que prend la Terre pour tourner autour du Soleil : une année. Ou, le temps que prend la Terre pour tourner sur elle-même : une journée.

À part ça, le temps reste mystérieux.

Peut-être aimerez vous regarder cette excellente animation réalisée par l’Office National du Film en 1991 qui démontre le cheminement des humains depuis la préhistoire pour se donner des repères pour compter le temps qui passe. Établir ces repères était très important dans l’organisation des humains, par exemple, pour se nourrir par l’agriculture selon les saisons.

Dans ce documentaire, jamais on ne parle d’anthropocentrisme. Mais avec un peu de recul, on peut remarquer que toutes les démarches et les tentatives pour compter le temps qui passe l’ont été à partir de la perspective des hommes sur leur environnement.

 

Les miroirs du temps (en français)

 

https://www.onf.ca/film/miroirs_du_temps/

 

Mirrors of Time (English)

https://www.onf.ca/film/mirrors_of_time/

 

 
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Luc Messier Luc Messier

LE PREMIER MINISTRE DU QUÉBEC FRANÇOIS LEGAULT

La vie est-elle juste ou injuste ? Le premier ministre du Québec souhaite que Dieu existe, sinon, la vie serait injuste. Sans voir le cirque infernal qu’impose la vie dans le monde animal, il souhaite qu’il y ait une justice propre à la vie, c’est-à-dire que si Dieu existe, alors les personnes qui souffrent et ceux qui ont souffert auront ou ont la justice de rejoindre Dieu au paradis.

Cet homme, le premier ministre du Québec, même s’il dit ne pas avoir la confirmation que Dieu existe, en souhaitant que celui-ci existe pour que la vie ne soit pas injuste, n’a pas la lucidité d’affirmer que les croyances religieuses ne sont pas crédibles à cause que la Préhistoire est l’époque où elles sont apparues. Il fonde des espoirs que Dieu existe. Les humains doivent réaliser qu’ils sont laissés à eux-mêmes et doivent être cohérents pour mettre fin aux bêtises et aux souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

La vie ne se soucie pas d’être juste ou injuste. Elle est comme elle est. La vie ne démontre aucune conscience et donc, elle ne se justifie pas. La vie avance dans l’espace et dans le temps, selon l’offre et la demande sans aucune éthique, sans aucune justice. Que le plus fort gagne, et ainsi, la vie continue.

Peut-on observer selon nos valeurs que la vie est aussi sauvage et sans merci ?

Le premier ministre du Québec, François Legault démontre que sa conscience ne considère pas Dieu comme un concept de la Préhistoire qui ne tient plus du tout la route avec les connaissances qui s’accumulent depuis des siècles et il laisse le doute planer sur cette croyance religieuse plutôt que guider la conscience de l’humanité sur une voie qui a de la rigueur dans le raisonnement face à notre perception de la vie, pour une meilleure organisation et pour une meilleure civilisation. Le premier ministre du Québec François Legault ne démontre aucune conscience de l’anthropocentrisme.

Il fait la promotion de la liberté d’errer dans le déni de réalité avec des concepts de la Préhistoire pour expliquer le comment et le pourquoi des choses.

Le premier ministre du Québec est la personne à l’avant-scène des habitants de la province de Québec, il a une grande influence. Il est très instruit, au-dessus de ses affaires et a du vécu.

Il démontre une faible performance intellectuelle et n’a pas une vision de la vie basée sur la réalité. Il laisse la condition humaine aller dans l’état qu’elle est, plutôt que d’unir les humains pour qu’ils se concertent avec cohérence pour renversent les bêtises les souffrances inutiles et endémiques.

«Je souhaite que Dieu existe» – François Legault | JDQ (journaldequebec.com)

Le premier ministre du Québec François Legault envoie le message qui a de l’influence sur le monde entier, qu’il souhaite que Dieu existe, sinon, la vie serait injuste.

Il souhaite que Dieu existe, sans quoi la vie serait injuste.

Des croyants, enlisés dans une conscience arriérée, inculquée lors de l’enfance, prient Dieu et compte sur lui pour que la vie ne soit pas injuste.

Les croyants, face aux guerres, aux homicides, aux viols, à la criminalité, à la pauvreté, à l’intimidation, à la menace des arsenaux nucléaires, etc., ne trouvent rien d’autre que de se replier sur les concepts de Dieu et des âmes éternelles pour ensuite laisser les choses aller. Entêtés dans le déni, ils ont les sentiments d’impuissance et de non-responsabilité face aux bêtises et aux souffrances inutiles et endémiques de l’humanité. Un comportement appris lors de la Préhistoire et transmis de génération en génération jusqu’à nos jours. Ils voient la perpétuité des bêtises et des souffrances inutiles avec résignation, et ça, c’est inacceptable. Voir des magistrats et des dirigeants avec cette mentalité est horrible.

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