LE PROLÉTARIAT

Prolétariat, selon le dictionnaire Larousse : Classe sociale constituée par les prolétaires.

Prolétaire, selon le dictionnaire Larousse : Personne qui ne peut attendre de ressources que de la rémunération que lui alloue celui auquel il loue ou vend sa force de travail.

Très éloquent !

Le prolétaire est une personne qui ne peut attendre de ressources pour combler ses besoins fondamentaux que de la rémunération que lui alloue sa force de travail.

Le prolétariat crée une promiscuité. Les humains, comme au temps où ils allaient à l’école, sont obligés de se rendre quelque part. Mais sur le marché du travail, ils doivent en plus effectuer une tâche en échange d’un salaire, et ce, pendant de très nombreuses années, pendant presque toute leur vie. Il faut absolument se nourrir, se loger, etc. Il faut de l’argent. Les rencontres entre humains sont nécessaires pour obtenir un salaire. Certains parmi ces personnes ont une dynamique de conquérants. Certains d’entre eux en imposent aux autres. Certains prolétaires ne sont pas toujours heureux de cette obligation et ne seront pas nécessairement plaisants à côtoyer, et ce, pendant des années. Il y a cette ambiance de soumission. Il y a cette ambiance d’espérer la pause au travail, d’espérer la fin de la journée pour rentrer à la maison, d’espérer la fin de la semaine, d’espérer les vacances, d’espérer la retraite, d’espérer ne pas mourir avant la retraite pour pouvoir en profiter un peu. Certains lieux de travail sont plus rebutants que d’autres.

Le prolétariat est une façon de s’organiser. C’est mieux qu’au temps où les humains vivaient de la chasse ou de l’agriculture à l’ancienne.

Notre économie, notre production de services, de biens de consommation, et tout ce qui est produit en rapport avec l’argent sont soutenus par le prolétariat, la classe prolétaire, soit 99 % des humains qui vendent leur force de travail en échange d’une rémunération, d’un salaire, pour combler leurs besoins fondamentaux, tels que se nourrir, se loger, se transporter, etc. Et ce pour se distancer du « cirque infernal » de la vie, sauvage et sans merci. Le saviez-vous ?

Pas de force de travail fournie, pas de salaire ! Pas de salaire, pas de moyens pour acheter la nourriture, le loyer, etc. !

Peut-on obtenir ces mêmes services et biens alors que tous les humains seraient relativement indépendants financièrement, forts consciemment, et ayant l’esprit responsable, capable de contribuer à la production, tout en étant relativement libérés du prolétariat ? Voilà une épreuve de caractère, de valeurs et de vision pour se débarrasser des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité. Délaisser les croyances religieuses pour une meilleure compréhension et une conscience de l’humanité axées sur la vie et sa réalité est nécessaire. Depuis de très nombreuses décennies, les magistrats et les dirigeants n’ont pas du tout compris cela.

Faut-il faire un effort pour comprendre l’importance et trouver les moyens de se débarrasser des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité ?

La conscience de l’humanité est responsable des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

La conscience de l’humanité axée sur des concepts de la Préhistoire pour expliquer le comment et le pourquoi des choses est un obstacle majeur pour parvenir à se débarrasser des guerres, des homicides, des viols, de la criminalité, de la pauvreté, de l’intimidation, de la menace des arsenaux nucléaires, etc.

Passer les plus belles heures de la journée, passer les plus belles années de notre vie à travailler 35, 40 heures ou plus pour obtenir un salaire pour combler ses besoins de base, où l’ensemble de la population est dans ce train, empêche de prendre un recul pour prendre conscience de la vie, de ce que nous sommes, de ce que l’on fait et d’avoir une meilleure compréhension. Cela contribue à l’abrutissement de la population, au point où personne ne dit rien ni ne se concerte à propos de la menace des arsenaux nucléaires, des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité, de l’errance de la conscience de l’humanité dans des concepts de la Préhistoire, pour expliquer le comment et le pourquoi des choses, ni même de se rendre compte que les personnes très instruites, très au-dessus de leurs affaires, ayant du vécu, ayant de l’influence sur la conscience de l’humanité, ayant un poste hautement en autorité, sont terriblement arriérées et que cela est très dangereux et très stupide.

Les parents, s’ils ne sont pas pauvres et peuvent aider leur progéniture à ne pas démarrer dans la vie en étant démunie… de génération en génération. Les parents doivent avoir une conscience responsable. L’humanité est composée de personnes dont les parents, selon leur conscience, jugeaient correct, acceptable de faire des enfants dans cette humanité avec cette conscience générale. Résultat : les bêtises et les souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

Les humains doivent comprendre l’importance que chacun doit être fort consciemment et relativement fort financièrement, parce que la vie est un combat et qu’il faut lutter.

Une conscience de l’humanité forte est nécessaire, pour que les gens se gardent loin de la promiscuité, et ce, pour une meilleure civilisation. Pour renverser les guerres, les homicides, les viols, la criminalité, la pauvreté, l’intimidation, etc.

L’errance dans le déni de réalité avec des concepts de la Préhistoire pour expliquer le comment et le pourquoi des choses de la part des magistrats et des dirigeants est extrêmement pitoyable et terriblement néfaste. Terriblement arriérée.

Même sous la menace des arsenaux nucléaires équivalant à 135 000 fois la bombe d’Hiroshima, les magistrats et les dirigeants n’ont pas compris cela. Est-ce que de leur expliquer à quel point ils sont obtus, ingénus, stupides, bourriques, etc., peut les réveiller ?

----------------------------------

En terminant ses études scolaires pour aller sur le marché du travail, leur mère monoparentale qui connaissait d’importantes difficultés financières dit à ses enfants, pour ne pas qu’ils connaissent les mêmes difficultés et se retrouvent coincés dans une situation difficile.

-          Quand tu allais à l’École, combien d’argent dépensais-tu ?

-          Bien, rien maman ! Je n’avais pas d’argent.

-          Alors maintenant que tu travailles, fais comme si tu étais encore sur les bancs d’école. Ne dépense pas ton argent. Dépose tout ton argent à la banque. Achète-toi une maison avant de t’acheter une voiture. Si tu ne respectes pas l’argent, l’argent ne te respectera pas. La réflexion vaut le travail. Plus tard, tu pourras faire de bons investissements et laisser l’argent travailler pour toi plutôt que toi travailler pour l’argent. Si tu commences à investir alors que tu es jeune, cela aura un effet très important au fil des années. Si tu n’as pas d’argent, les gens ne te respecteront pas et te marcheront dessus.

 

Sur un ton sévère, elle posa deux questions à ses enfants qui étaient alors tous devant elle :

-          Quelle est la chose la plus importante dans la vie ?

Les enfants répondirent tous presque en même temps en toute confiance :

-          C’est le bonheur !

La mère qui avait jadis été directrice d’une école primaire répondit sur un ton sévère :

-          Zéro pour la réponse !

Timides et craintifs, les enfants répliquèrent alors après quelques secondes :

-          C’est l’argent.

La mère dit alors sur le même ton sévère :

-          Cent pour cent, pour la réponse ! Si tu n’as pas d’argent, tu auras de la misère et les autres ne te respecteront pas, comme si tu ne valais rien. Puis elle enchaina tout de suite avec l’autre question.

-          Quelle est la personne la plus importante dans la vie ?

Les enfants répondirent tous presque en même temps en toute confiance :

-          C’est toi maman !

La mère répondit encore sur un ton sévère :

-          Zéro pour la réponse !

Timides et craintifs, les enfants répliquèrent alors après quelques secondes :

-          C’est moi.

La mère dit alors sur le même ton sévère : cent pour cent, pour la réponse !

 

C’est une image qu’elle leur donnait. Elle savait très bien que ce n’est pas parce qu’on pense ainsi que l’on considère que les autres personnes n’ont pas d’importance. Mais si tu ne prends pas les moyens pour te garder loin de la promiscuité, les autres ne viendront pas t’aider.

 

Les conseils de cette mère à ses enfants sont une préparation à la vie que le système scolaire et les gouvernements n’ont jamais dit, pour que tous les humains soient forts financièrement et pour qu’ils puissent faire de meilleurs choix.

Si vous avez les moyens, peut-être, plutôt que de simplement aider votre entourage, aiderez-vous l’humanité tout entière. Et alors, comment le ferez-vous ?

Ce n’est pas vrai que des humains sont nés pour un petit pain.

Les magistrats, les dirigeants et autres adultes, au-dessus de leurs affaires, ne disent rien pour une humanité cohérente qui se concerte. Ils ne sont pas conscients de l’importance d’être tous relativement indépendants du prolétariat et de l’importance de se garder loin de la promiscuité. Cela nous vaut les bêtises et les souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

Promouvoir l’élaboration de la conscience de l’humanité n’a jamais été dans leur vision des choses.

 
Précédent
Précédent

LA PROMISCUITÉ

Suivant
Suivant

L’ANTHROPOCENTRISME