Que mettre fin aux bêtises et aux souffrances inutiles et endémiques de l’humanité par la cohérence et la concertation soit notre projet à tous.

 

 

Peut-on mettre fin aux bêtises et aux souffrances inutiles et endémiques de l’humanité par la cohérence et la concertation ?

 

Nous sommes tous des êtres vivants et avons tous un puissant instinct de survie. Rester en vie est important. Peut-on s’entendre là-dessus ?

Selon le premier article de la Déclaration universelle des droits de l’homme :

« Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ».

Au Canada, il y a l’article 7 de la loi constitutionnelle de 1982 :

« Chacun a droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne ; il ne peut être porté atteinte à ce droit qu’en conformité avec les principes de justice fondamentale ».

En occident, depuis plus de cinquante-cinq ans, nous apprenons à l’école, dans les livres et à la télévision abondamment d’éléments fondamentaux qui discréditent totalement les croyances religieuses. Mais ces connaissances sont connues depuis bien plus longtemps.

Alors, pourquoi la majorité des dirigeants occidentaux s’identifie-t-elle encore à une religion, et pourquoi les autres dirigeants ne dénoncent-ils pas cette grave incohérence ? Ils sont pourtant tous allés dans ces écoles, et même jusque dans les universités, ont lu ces livres et regardé la télévision.

Perspicacité fort douteuse !

Nous avons la liberté de religion et la liberté de conscience. Ces deux libertés sont aussi la liberté d’errer dans de graves dénis de réalité responsables de l’existence des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité, c’est-à-dire la menace nucléaire, les guerres, les homicides, les viols, la criminalité, la pauvreté, l’intimidation, etc.

Il y a une grave difficulté à se concerter tous pour une compréhension générale cohérente. Quelque chose fait obstacle. Voilà le problème.

Les croyances religieuses sont des concepts anthropocentriques d’hommes très ignorants et d’époques très lointaines pour expliquer la vie, le comment et le pourquoi des choses, l’absolu, donner un sens à la vie, et organiser les humains selon ces compréhensions.

Les gens de la préhistoire, tous illettrés sans aucune exception, avaient besoin de donner un sens à la vie et expliquer le comment et le pourquoi des choses. C’était une nécessité. Toutefois, ils n’avaient aucune des innombrables connaissances que nous avons.

Les croyances religieuses n’ont aucun rapport avec la vie et sa réalité.

Nous sommes un produit de l’évolution de la vie à travers la sélection naturelle et des milliards de milliards de combats à mort où tous les coups sont permis. La vie est un phénomène formidable, sauvage et sans merci. Elle n’a aucune éthique. Elle se nourrit d’elle-même et occasionne une infinité de situations de promiscuité. Chaque jour, tout ce que l’on retrouve dans nos assiettes à l’exception du sel et des nanoparticules plastiques, provient de la vie.

La vie tend à s’étendre dans l’espace et dans le temps selon l’offre et la demande et cela crée des situations de promiscuité. Tout ce qui est vivant est assujetti à la loi fondamentale de l’offre et de la demande. Cette loi, naturelle et sauvage, n’a aucune conscience et joue un grand rôle dans la sélection naturelle qui elle aussi est sauvage et sans conscience.

Une minorité de personnes sait ce qu’est la promiscuité. Cette dernière est souvent confondue avec la proximité et banalisée.

La force qui propulse la vie ne démontre aucune conscience. Sans cette force, la vie aurait failli puis disparu. Nous ne serions pas ici. Seuls les êtres vivants démontrent une conscience, toutefois bien relative.

L’absolu est inaccessible à l’esprit humain. Affirmer le contraire n’est qu’arrogance. Les croyances religieuses réfèrent à l’absolu et sont donc toutes arrogantes.

Personne n’a demandé à venir au monde, mais tous se retrouvent devant le fait accompli qu’ils sont là, en vie, avec un puissant instinct de survie et des besoins fondamentaux à combler, dont certains sont vitaux. Basée sur des faits irréfutables, fondamentalement, voilà notre réalité.

La vérité est relative. Toute connaissance humaine est relative. Mais hors de tout doute, les découvertes des derniers siècles sont tellement plus vraisemblables et significatives que les compréhensions de la préhistoire, de l’Antiquité et du Moyen Âge.

 La vie est notre réalité et face à elle, il faut s’unir. Se nuire entre nous est le résultat d’une mauvaise compréhension générale. Les croyances religieuses nous trompent et nous divisent bêtement et dangereusement. Le concept de nations nous divise lui aussi, bêtement et dangereusement.

Les magistrats occidentaux ont depuis des siècles, un devoir de réserve et ne disent rien sur ces graves incohérences. Ils sont pourtant eux aussi doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. En ne disant rien, ils cautionnent la grave errance dans des dénis de réalité aux conséquences terribles qui entrent directement en conflit avec l’Article premier de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

La conscience collective des magistrats et des dirigeants occidentaux est au sommet de la hiérarchie de la conscience de l’humanité et exerce une très grande influence sur cette dernière. La conscience collective des magistrats occidentaux se prolonge depuis l’Antiquité et est encore plus élevée dans cette hiérarchie que la conscience collective des dirigeants. Les magistrats sont respectés et perçus généralement comme des modèles, l’ordre social établi et les garde-fous de l’humanité. Ils ont le pouvoir de condamner. Attention ! Dans [leur] tribunal, ce sont eux qui ont le dernier mot.

Les têtes dirigeantes changent toujours, mais la conscience collective des magistrats, relativement stable et apathique, reste toujours et fait stupidement blocage. Et c’est le plus grand problème.

Si l’on veut savoir pourquoi il y a la menace nucléaire, les guerres, les homicides, les viols, la criminalité, la pauvreté, l’intimidation, etc., on a qu’à regarder du côté de la conscience collective des magistrats et des dirigeants occidentaux.

Depuis des générations, sur les questions les plus fondamentales, ils laissent flotter l’hypocrisie, les mensonges, l’arrogance, l’indifférence, le déni de réalité, la lâcheté intellectuelle, l’ingénuité, la confusion, la division, et l’absence de responsabilité globale. Ce sont des qualificatifs que l’on peut facilement appliquer contre la conscience collective des magistrats et les voir comme intrinsèques à cette conscience. Ils en font un standard, une normalité, une acceptabilité sociale. Tous les enfants en sont influencés dès la petite enfance et tout au long de leur vie. Vous aussi avez grandi avec cette influence.

Ces mensonges et cette hypocrisie entretiennent une mauvaise compréhension générale et l’existence des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité alors que les technologies évoluent très rapidement.

Très instruits, très au-dessus de leurs affaires, ayant du vécu, un poste hautement en autorité qui exerce une grande influence sur la conscience de l’humanité, et de pays démocratiques où nous avons une grande liberté d’expression, depuis des générations, sur les questions les plus fondamentales et sous la menace nucléaire, les magistrats et les dirigeants occidentaux, en connaissance de cause et de façon délibérée, choisissent les concepts d’hommes primitifs et d’hommes préhistoriques plutôt que les connaissances qui s’accumulent depuis des siècles qui discréditent totalement les croyances religieuses.

Depuis de très nombreuses décennies, voilà le choix qu’ils font. C’est très grave ! Ils trompent gravement les humains.

Le Canada est décrit dans sa constitution par les constitutionnalistes comme étant fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de Dieu et la primauté du droit. Cette description est approuvée par tous les magistrats, juristes et dirigeants du Canada depuis 1982.

La constitution se veut la base principale qui guide les citoyens d’un pays.

Dieu est culturel et n’a donc aucune valeur fondamentale réelle. Il est un concept culturel qui trompe tous les humains sur les questions fondamentales. Dieu est un concept d’hommes de la préhistoire, donc, d’hommes très ignorants qui ne savaient lire ni écrire.

Ce concept tient par deux autres concepts encore plus primitifs : l’éternité des âmes et les prières sont des concepts d’hommes primitifs, d’avant même l’apparition d’homo sapiens. Sans ces deux concepts, Dieu s’effondre.

Les humains devaient commencer d’une façon pour expliquer la vie, le comment et le pourquoi des choses, l’absolu et donner un sens à la vie. C’est normal et facilement compréhensible. Ils ne pouvaient pas comprendre du premier coup. Ils n’avaient aucune perspective sauf celle de leurs parents. Dieu le créateur omniprésent, omniscient et omnipotent est conçu sur le modèle des parents protecteurs et pourvoyeurs qui accordent des faveurs à leurs enfants innocents, vulnérables et tiraillés par la peur dans un monde sauvage et sans merci où personne n’échappe à la lutte pour survivre.

Les magistrats, les dirigeants et les juristes occidentaux sont très instruits, doués de raison et de conscience et exercent une grande influence sur la conscience générale. En œuvrant pour leur pays et en ne disant rien contre cette aberrance extrême, ils la cautionnent et envoient constamment un message. Depuis des millénaires, tous les humains de la Terre reçoivent constamment le message dès leur petite enfance et toute leur vie durant que ces concepts sont crédibles et fiables. Les enfants qui, une fois adultes, seront magistrats ou dirigeants n’y échappent pas.

Mais parmi toutes les informations qui reçoivent, doués de raison et de conscience, ils font des choix qui sont des épreuves de caractère, de valeurs et de vision aussi sévères que l’existence des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

Restons polis. Ils sont abominablement affreux et disent servir le peuple. Ils forment une conscience collective qui semble immuable dans ses certitudes.

Le Canada est décrit dans sa constitution comme étant fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de Dieu et la primauté du droit.

La primauté du droit est un concept du Moyen Âge, en 1250, qui affirme que « le Roi lui-même ne devrait pas être assujetti à un homme, mais à Dieu et à la loi, car c’est la loi qui le fait Roi. »

De plus, une prière à Dieu est récitée chaque jour à la Chambre des communes pour le remercier et lui demander qu’il guide les députés dans leurs délibérations, et lui demande son aide pour qu’ils prennent bien conscience de leurs devoirs et de leurs responsabilités, etc.

Comment parvenir à un monde cohérent quand les magistrats et les dirigeants de pays démocratiques sont hypocrites et mentent gravement sur des questions fondamentales ?

Il n’y a rien de plus important à long terme que les questions fondamentales. C’est existentiel ! C’est une question de survie de l’espèce humaine.

Les humains ont besoin d’une bonne compréhension des choses et doivent être tous forts consciemment pour former une civilisation cohérente qui se concerte.

La conscience de l’humanité est responsable de l’existence des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

Qu’importe le nombre de fois, le genre, le degré et la durée du mal qu’on a pu nous faire, c’est toujours la faute de la pauvreté de la conscience de l’humanité. Tout le monde en a été touché et en est touché. Et ce sera ainsi encore longtemps.

Les règles établies de la société et des religions ont été et sont pour éviter les mauvaises actions et punir ceux qui contreviennent aux règlements. Punir est une mauvaise pédagogie et manifestement, ne mettra jamais fin à l’existence des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité, loin de là. La menace nucléaire ; les guerres, les homicides, les viols, la criminalité, la pauvreté, l’intimidation, etc. sont toujours là, et tout le monde croit qu’il y en aura toujours. Leur existence est considérée comme inévitable.

Ce sont les situations de promiscuité qu’il faut connaitre, comprendre et prévenir. Elles ont rapport avec la vie, le puissant instinct de survie de chacun et les besoins fondamentaux à combler.

Tout le mal fait depuis toujours a toujours été fait à cause d’une mauvaise compréhension de notre situation puis d’une mauvaise organisation. Il est possible d’éduquer et d’obtenir une meilleure compréhension générale de tous les humains.

Conscients de l’existence des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité, les magistrats et les dirigeants n’agissent pas « en bons pères de famille ». Ils agissent en très mauvais pères de famille. Ils agissent en pères gravement insouciants, arriérés et sans vision. Leur attitude est une démonstration de la valeur que l’on accorde à la vie et au sens commun de tous les humains.

Ils n’ont jamais eu l’initiative de mettre fin aux bêtises et aux souffrances inutiles et endémiques de l’humanité. Bien au contraire, ils font obstacle ! Les représentants de l’ordre social font obstacle et se contentent lâchement de ce standard établi. Personne au monde ne réfléchit pour mettre fin aux bêtises et aux souffrances inutiles et endémiques de l’humanité. Durant notre croissance, on nous a fait croire qu’il était impossible de leur mettre fin.

Mais lorsqu’on remarque les très graves incohérences des personnes les plus en autorité sur les questions fondamentales, cela explique beaucoup de choses.

Les magistrats et les dirigeants sont entrainés dans une conscience collective indolente, même après avoir vu le désastre provoqué par les deux bombes nucléaires larguées sur le Japon. Gravement ingénus et complaisants dans leur devoir de réserve et leur immunité, ils n’ont depuis 80 ans jamais eu l’idée de bâtir une conscience de l’humanité forte et cohérente. Cette idée ne viendra jamais d’eux.

Tous les barreaux de l’occident sont des ruches de juristes. Les centaines de milliers de juristes n’ont jamais rien dit contre la terrible errance dans les dénis de réalité et les très graves incohérences des personnes en autorité qui font de l’humanité un monde gravement insensé. C’est aussi un important reflet de la pitoyable performance intellectuelle de la conscience collective de tous les juristes de l’occident. Ils ont tous la liberté d’expression, mais ne disent rien face aux très graves incohérences de l’humanité.

Ils sont ceux qui œuvrent pour la justice. Quelle justice ? Horrible ! Ces personnes qui déchirent leurs chemises devant les tribunaux participent en toute candeur à faire de l’humanité un monde gravement insensé.

Faire de l’humanité un monde gravement insensé est un standard, une normalité, une acceptabilité sociale.

Par l’insalubre organisation scolaire des adultes, dès le primaire, les enfants commencent à s’imprégner de cette atmosphère néfaste dont ils font un standard.

Les magistrats et les dirigeants occidentaux font de l’humanité un monde gravement insensé qui se dirige vers sa destruction en plus de laisser les humains se buter contre la vie dans les bêtises et les souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

Comment pouvons-nous être patriotiques ?

Nous devons nous prendre en main.

Nous pouvons parvenir à mettre fin aux bêtises et aux souffrances inutiles et endémiques de l’humanité, et ce, par la cohérence et la concertation, et par une meilleure compréhension de ce qu’est la vie, ce qu’elle fait, ce que nous sommes et ce que nous faisons.

Solution : Les gouvernements ne pourront jamais faire des lois pour exiger de la rigueur dans le raisonnement. Ce serait de la folie. Nous avons droit à la liberté de conscience. Alors, au moins, réclamons tous un minimum tacite de rigueur dans le raisonnement à la conscience de l’humanité en commençant par la conscience collective des magistrats et des dirigeants occidentaux.

·         Pour une conscience de l’humanité axée sur la vie et sa réalité.

·         Pour une humanité cohérente.

·         Pour mettre fin à l’existence des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

·         Pour une humanité sans frontière, ni pays, ni nation.

Il faut construire par l’éducation une conscience de l’humanité axée sur la vie et sa réalité.

En occident, les gens viennent de partout sur Terre. Qu’il en soit ainsi pour tous dans une humanité cohérente, sans frontière où tous sont forts consciemment.

Choisissez le monde dans lequel vous voulez vivre. Choisissez le monde dans lequel les futures générations vivront. Votre choix est une épreuve de caractère, de valeurs et de vision aussi sévère que l’existence des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

Ce ne sont pas les enfants, les pauvres, les persécutés, les démunis et les réfugiés qui vont corriger l’errance de la conscience de l’humanité !

Les enfants nous observent, nous écoutent et apprennent de nous. Si vous ne dites rien, cela envoie constamment le message que nous sommes impuissants et non responsables, ce qui est complètement faux. C’est comme si nous étions appuyés en permanence sur le bouton « laisser faire ».

Les personnes en autorité n’ont rien à dire d’intelligent aux enfants pour une humanité cohérente et une meilleure compréhension.

Le premier article de la Déclaration universelle des droits de l’homme est un énoncé court qui n’apporte aucune explication. Si en plus, les autorités n’en tiennent pas compte, cela nous vaut le monde insensé dans lequel nous vivons.

En tant que personnes douées de raison et de conscience qui doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité, votre réclamation d’une meilleure conscience de l’humanité est la valeur que vous donnez à la vie et au premier article de la Déclaration universelle des droits de l’homme. C’est une question d’offre et de demande.

Nous vivons dans une société qui cherche à se divertir sans réclamer un minimum de rigueur dans le raisonnement à la conscience de l’humanité alors que nous sommes depuis plus de 80 ans sous la menace d’arsenaux nucléaires contrôlés par une poignée de personnes qui ont des concepts d’hommes primitifs et d’hommes préhistoriques pour expliquer la vie, le comment et le pourquoi des choses, l’absolu, donner un sens à la vie et organiser les humains selon ces compréhensions devenues archi pitoyables.

Les arsenaux nucléaires sont dotés de missiles pouvant voyager de 6 à 10 fois la vitesse du son. Ils équivalent à 135 000 fois la puissance de la bombe larguée sur Hiroshima il y a 80 ans, et sont nourris de plusieurs centaines de milliards de dollars chaque année pour faire gonfler davantage cette pire bêtise de tous les temps qui est sous le contrôle d’hommes les plus fous qui soient.

C’est une très mauvaise hygiène mentale et de très graves incohérences de la conscience collective des magistrats et des dirigeants qui compromettent gravement le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité des personnes partout sur Terre.

On a beau argumenter ainsi jusqu’aux Cours fédérales du Canada, croyez-le ou non, en 2025, les magistrats arrogants, continuent à nier cette réalité et considèrent ce sujet « scandaleux, frivole, et vexatoire » comme s’ils étaient coincés au dix-huitième siècle.

a)       Ils ont refusé de reconnaitre que la conscience de l’humanité (soit la conscience générale de tous les humains) est responsable de l’existence des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

b)      Ils ont refusé de reconnaitre que les consciences collectives des magistrats et des dirigeants occidentaux, et d’ailleurs ont une grande influence sur la conscience des humains, donc, sur la conscience de l’humanité.

c)       Ils ont refusé de condamner le Canada pour sa très mauvaise hygiène mentale et les très graves incohérences de la conscience collective du Canada, de son gouvernement, de la Couronne qui compromettent gravement le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité des personnes au Canada et de toutes les personnes sur Terre.

Cette condamnation (du Canada puis de tous les pays démocratiques. C’est un début.) est nécessaire pour affirmer et envoyer le message clair que :

o   La grave lâcheté intellectuelle des personnes en autorité est inacceptable.

o   Le refus de l’errance de la conscience de l’humanité dans de graves dénis de réalité.

o   La nécessité d’un minimum tacite de rigueur dans le raisonnement à la conscience de l’humanité.

o   Qu’il est possible et primordial de mettre fin aux bêtises et aux souffrances inutiles et endémiques de l’humanité par la cohérence et la concertation !

Ils ont rejeté cette demande sans même tenir une audience. Dans son ordonnance, le juge vient même d’un naturel à être condescendant. Ces gens ne ressentent absolument aucun sentiment de culpabilité. Bien au contraire ! Ils sont l’ordre social établi.

Ce rejet du revers de la main est une confirmation que la conscience collective des magistrats est archi pitoyable et qu’elle est le principal facteur qui cause la perpétuité des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité.

Les deux Cours fédérales font obstacle à une initiative qui vise à mettre fin à l’existence des bêtises et des souffrances inutiles et endémiques de l’humanité par la cohérence et la concertation.

Une ordonnance qui rejette cette demande et affirme qu’elle est scandaleuse, frivole et vexatoire est de l’arrogance et ferme la communication avec la justice du Canada. C’est le reflet d’une très faible démocratie. Les magistrats fuient leurs responsabilités les plus primaires.

Il n’y a rien à faire avec les Cours fédérales. Alors on va faire connaitre à tous l’horrible lâcheté intellectuelle de la conscience collective des magistrats et des dirigeants occidentaux, horriblement menteuse, hypocrite et folle. Elle est responsable de l’existence de la menace nucléaire, des guerres, des homicides, des viols, de la criminalité, de la pauvreté, de l’intimidation, etc.

Les magistrats condamnent des centaines de millions de personnes depuis des milliers d’années et sont disposés à en condamner encore des milliards pendant des milliers d’années. Des milliards de personnes sont victimes et d’autres sont condamnées parce qu’ils ont reçu depuis leur enfance une mauvaise compréhension des choses à cause de la grave lâcheté intellectuelle, les mensonges et l’hypocrisie des magistrats.

Les magistrats sont de simples humains lâches et arrogants qui ont une grande influence sur la conscience de tous les humains. Ils n’ont pas le droit d’errer dans de graves dénis de réalité ni cautionner les concepts d’hommes primitifs et d’hommes préhistoriques pour expliquer la vie, le comment et le pourquoi des choses, l’absolu, donner un sens à la vie et organiser les humains selon ces compréhensions primitives.

Leur devoir de réserve et l’immunité qu’ils se sont donnée il y a des siècles sont les pires calamités de l’humanité et nous mènent au désastre total. Cela leur donne carte blanche pour être les plus dangereux lâches de l’histoire de l’humanité.

La pauvreté de la conscience collective des magistrats et des dirigeants occidentaux est le goulot d’étranglement transmis de génération en génération qui freine et séquestre l’épanouissement de la conscience de l’humanité.

Tous les humains sont affectés, même les magistrats et les dirigeants. La conscience collective des magistrats et des dirigeants est trop bête pour s’en rendre compte d’elle-même ! Ne soyons pas aussi bêtes qu’elle.

L’humanité est entrainée dans une conscience générale foncièrement stupide, extrêmement dangereuse et nuisible. Chacun est perché sur son quant-à-soi.

Il est d’importance capitale d’élever la conscience de l’humanité.

Les humains doivent tous être fort consciemment et relativement indépendants du prolétariat pour former une humanité cohérente.

Les magistrats et les dirigeants occidentaux sont les naufrageurs de l’humanité.

Ils se disent « honorables » et « très honorables ». Donc ils sont des « nobles », tout comme l’aristocratie française était constituée de personnes qui se disaient « nobles ». Déconnectés de la population face à la vie et au détriment d’une humanité cohérente, ils œuvrent dans le sens du conservatisme et du respect de conventions sociales insensées, et gardent la démocratie à un niveau famélique.

Depuis 80 ans, tous les humains qui viennent au monde se retrouvent toujours eux aussi devant le fait accompli qu’ils sont là, en vie, avec un puissant instinct de survie et des besoins fondamentaux à combler dont certains sont vitaux. Mais en plus, ils sont sous la menace nucléaire que les dirigeants occidentaux nous font payer par 2 % du PIB des pays membres de l’OTAN, chaque année, pour gonfler toujours davantage leurs forces militaires. Et ces dirigeants adhèrent ou cautionnent des concepts d’hommes primitifs et d’hommes préhistoriques pour expliquer la vie, le comment et le pourquoi des choses, l’absolu, donner un sens à la vie, et organiser les humains selon ces compréhensions primitives. Les magistrats cautionnent. Ce n’est pas de la démocratie. C’est de la folie poussée au maximum. Personne n’a voté pour cette folie. Les personnes en autorité sont les plus folles de l’histoire de l’humanité. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

Tous les enfants qui naissent depuis 80 ans considèrent cela comme une normalité, un standard, une acceptabilité sociale. Tellement qu’une fois adultes, ils n’ont jamais l’idée de dénoncer cette conscience, la plus folle de tous les temps.

Soyons conscients que nous avançons depuis trop longtemps dans une impasse à cause de leurs graves dénis de réalité et lâcheté intellectuelle. Un jour, il y aura une révolution ou la destruction de l’humanité et de la vie sur Terre.

Nous devons sortir de la torpeur et réalisez l’importance de se mettre en tête que l’on peut et que l’on doit mettre fin aux bêtises et aux souffrances inutiles et endémiques de l’humanité par la cohérence et la concertation. C’est un projet dont il faudra plus d’un siècle pour y arriver partout sur Terre. C’est notre projet à tous.

Si nous sommes des milliers, un à un, à poursuivre le Canada en justice, pour dénoncer l’horrible lâcheté intellectuelle des magistrats et des dirigeants occidentaux et réclamer un minimum tacite de rigueur dans le raisonnement à la conscience de l’humanité en commençant par les magistrats et les dirigeants occidentaux, que va-t-il arriver ? Un jour, il y aura un effet.

On peut sans trop de difficultés faire ces poursuites en justice sans l’aide d’un avocat. Il n’en coûte presque rien. Au final, ce n’est pas plus difficile que de faire une déclaration fiscale pour la première fois.

Conscient que nous vivons en démocratie, et bien conscient que l’on s’adresse à une conscience collective qui erre dans de très graves dénis de réalité aux très graves conséquences, réclamons un minimum de rigueur dans le raisonnement en souhaitant que les personnes à qui nous aurons à faire soient d’une génération qui laisse entrevoir l’émergence d’une conscience générale meilleure pour mettre fin, dans un esprit de fraternité et de justice fondamentale, aux bêtises et aux souffrances inutiles et endémiques de l’humanité par la cohérence et la concertation. C’est de la concertation pour obtenir de la cohérence.